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05 juillet 2014

CJCS : une association de jeunes en mouvement.

Le CJCS – Club des Jeunes Cadres en Sûreté – dont je suis le trésorier, organisait lundi 23 juin dernier son premier événement ouvert au public, sous la forme d’un débat-cocktail sur le thème de L’apport des nouvelles technologies dans la réorganisation des prestations de sûreté.

Cet événement, qui s’est tenu à la Tour Zamansky de l’université Pierre et Marie Curie, en  présence de nombreux acteurs du secteur, parmi lesquels Michel Mathieu, Président de Sécuritas France, Jean-Luc Planchet, Responsable domaine défense & sécurité de la RATP et Bertrand Masselin, Directeur de la sécurité de Defacto, a rassemblé près d’une centaine de jeunes cadres et étudiants venue échanger sur cette problématique.

L’investissement des jeunes au sein de notre société en générale – quelqu’en soit le sujet – et plus particulièrement  au sein du secteur d’activité dans lequel elle travaille est essentiel. Essentiel tout d’abord quant à la montée en puissance de futurs décideurs qui deviendront les décisionnaires de demain et essentiel ensuite quant à l’innovation et l’entreprenariat, cette dernière étant extrêmement active dans la création de start-up.

Ainsi, dans le secteur de la sécurité, il est évident que les nouvelles technologies apportent – et vont apporter encore dans les années futures – de nombreux gains. Gains en termes de productivité, gains en termes de coûts et gains en termes de sécurité d’un point de vue général.

Cependant, ces apports nous obligeront à nous interroger sur des questions périphériques au secteur d’activité. Des questions liées aux ressources humaines ainsi que des questions juridiques notamment.

Les nouvelles technologies dans la sécurité ne feront pas disparaitre l’agent de sécurité. Ce dernier, quelque soit le niveau de la technologie dans la prestation de sécurité est essentiel : rien ne remplacera l’humain, maillon essentiel dans la prestation de sécurité.

L’électronique dans les prestations de sécurité ne vient pas – et ne doit pas venir – à la place de l’humain. Il doit y avoir une complémentarité entre humain et électronique. C’est de la sorte que s’améliorera le niveau des prestations de sécurité.

Commentaires

Je vous approuve pour votre recherche. c'est un vrai charge d'écriture. Poursuivez .

Écrit par : auto école paris 11 | 20 juillet 2014

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